Les Notes sont issues des travaux des membres du CAE, avec le soutien de l’équipe permanente. Elles sont réalisées en toute indépendance et rendues publiques. Elles abordent des thèmes extrêmement variés avec pour objectif de dresser des constats et faire des recommandations de politiques publiques.
Malgré son augmentation sur les quinze dernières années, le taux d’emploi des séniors en France reste inférieur de 10 points à la moyenne des pays de l’OCDE.
Enjeux posés par une mobilité internationale croissante des personnes les plus qualifiées, et recommandations en matière de financement de l’enseignement supérieur, d’accueil des talents étrangers et de portabilité des droits à la retraite.
Le choix de faire l’euro sans union budgétaire a été remis en cause par la crise. Le « chacun pour soi » affaiblit la zone euro, mais la coordination des dix‐neuf budgets nationaux s’avère extrêmement difficile.
Au sein de l’OCDE, notre pays se distingue par l’importance de la part publique de ces dépenses et le morcellement institutionnel du système de protection sociale.
L’agriculture française affiche des résultats insatisfaisants : un emploi qui diminue, des revenus faibles dans certaines activités, un environnement qui se dégrade de façon patente et une performance commerciale qui s’érode.
Cette Note formule des recommandation pour répondre à deux défis majeurs : innover en matière de réglementation et de politique de concurrence, et favoriser la création d’emplois.
Le manque d’entreprises de taille intermédiaire et de « grandes PME » est régulièrement pointé du doigt comme un handicap majeur du tissu productif français dans la concurrence internationale.
Si la part des emplois salariés en CDD et intérim est stable en France depuis le début des années 2000, une transformation profonde est à l’œuvre avec le raccourcissement de la durée des contrats.
Comment et pourquoi la France perd-elle des parts de marché ? La Note du CAE analyse les facteurs pouvant expliquer la mauvaise performance de la France à l’exportation.
Alors que la reprise paraît bien engagée aux États-Unis et au Royaume-Uni, la zone euro peine à se redresser, sans avoir pourtant subi de choc spécifique depuis 2012 : une défaillance du pilotage macroéconomique propre à la zone euro ?