Les Notes sont issues des travaux des membres du CAE, avec le soutien de l’équipe permanente. Elles sont réalisées en toute indépendance et rendues publiques. Elles abordent des thèmes extrêmement variés avec pour objectif de dresser des constats et faire des recommandations de politiques publiques.
Malgré plusieurs réformes, les règles budgétaires peinent à remplir deux objectifs essentiels : assurer la soutenabilité de la dette et stabiliser l’économie en cas de choc.
Même protégée en partie par son grand marché intérieur, l’Union européenne a tout intérêt à s’engager résolument dans une stratégie de défense du multilatéralisme commercial.
Quelles conséquences du Brexit sur la stabilité et la fragmentation financière en zone euro et sur la concurrence entre places financières continentales pour attirer des entreprises du secteur ?
Quels leviers d’action les moins coûteux pour atteindre les objectifs de politiques publiques et quelles leçons des expériences étrangères pour la transformation de l’action publique ?
Le système de redistribution français affiche des performances globalement satisfaisantes en comparaison d’autres pays européens mais il est complexe et manque de cohérence.
Outre les difficultés conjoncturelles liées au faible cours du nickel, l’économie néo‐calédonienne souffre de faibles gains de productivité, d’une compétitivité insuffisante et de fortes inégalités de revenus.
Le projet européen est aujourd’hui en plein doute, entre une promesse de prospérité qui vacille et la perception fréquente que l’Europe creuse les inégalités. La Note du CAE recommande de ne pas lâcher sur l’intégration des marchés.
Pour limiter les émissions mondiales de gaz à effet de serre, doit-on restreindre les échanges internationaux, comme le défendent les promoteurs des « circuits courts » ?