Jérôme Glachant, Jean-Hervé Lorenzi et Philippe Trainar Parution : 09.07.2008 Le « private equity » ou capital-investissement se définit comme l’ensemble des participations détenues par des investisseurs et gérées par des fonds spécialisés dans des sociétés non cotées. Il regroupe le capital-risque et le capital-développement (venture capital) pour financer des entreprises en devenir et le capital-transmission (buyout), qui permet d’acquérir des entreprises mûres. Les auteurs estiment que ce type de financement est particulièrement adapté à l’économie française : des milliers d’entreprises moyennes n’ont pas aujourd’hui, et auront encore moins demain, d’autres sources de financement que celles du capital-investissement. Ce rapport est à la fois : un diagnostic : non, le capital-investissement n’a pas de résultats financiers exceptionnels ; une analyse : oui, le capital-investissement a une efficacité très forte dans la relation actionnaire-management ; une force de propositions pour accélérer le développement de cette classe d’actifs en France. Ce rapport du Conseil d’analyse économique offre ainsi une analyse unifiée et cohérente d’une industrie complexe. Commander le rapport La lettre Analyses Économiques n° 3/2008 - Juillet 2008 Le private equity ou capital-investissement est l’ensemble des participations détenues par des investisseurs et gérées par des fonds spécialisés dans des sociétés non cotées. Il regroupe le capital-risque et le capital-développement (venture capital) qui ciblent des entreprises en devenir et le capital-transmission (buyout), qui permet d’acquérir avec un levier d’endettement des entreprises mûres. Les auteurs estiment que ce type de financement est particulièrement adapté à l’économie française, dans laquelle des milliers d’entreprises moyennes n’ont pas aujourd’hui, et auront encore moins demain, d’autres sources de financement que celles du capital-investissement. Ce rapport est à la fois : un diagnostic : non, le capital-investissement n’a pas de résultats financiers exceptionnels ; une analyse : oui, le capital-investissement a une efficacité très forte dans la relation actionnaire-management ; une force de proposition pour permettre à cette classe d’actifs de se développer de manière accélérée en France. Ce rapport a été présenté au directeur de cabinet du Premier ministre le 17 avril 2008. Les auteurs ont bénéficié de la collaboration de nombreux experts. Cette lettre, publiée sous la responsabilité du CAE, reprend les principales conclusions et propositions des trois auteurs.
Jérôme Glachant, Jean-Hervé Lorenzi et Philippe Trainar Parution : 09.07.2008 Le « private equity » ou capital-investissement se définit comme l’ensemble des participations détenues par des investisseurs et gérées par des fonds spécialisés dans des sociétés non cotées. Il regroupe le capital-risque et le capital-développement (venture capital) pour financer des entreprises en devenir et le capital-transmission (buyout), qui permet d’acquérir des entreprises mûres. Les auteurs estiment que ce type de financement est particulièrement adapté à l’économie française : des milliers d’entreprises moyennes n’ont pas aujourd’hui, et auront encore moins demain, d’autres sources de financement que celles du capital-investissement. Ce rapport est à la fois : un diagnostic : non, le capital-investissement n’a pas de résultats financiers exceptionnels ; une analyse : oui, le capital-investissement a une efficacité très forte dans la relation actionnaire-management ; une force de propositions pour accélérer le développement de cette classe d’actifs en France. Ce rapport du Conseil d’analyse économique offre ainsi une analyse unifiée et cohérente d’une industrie complexe. Commander le rapport La lettre Analyses Économiques n° 3/2008 - Juillet 2008 Le private equity ou capital-investissement est l’ensemble des participations détenues par des investisseurs et gérées par des fonds spécialisés dans des sociétés non cotées. Il regroupe le capital-risque et le capital-développement (venture capital) qui ciblent des entreprises en devenir et le capital-transmission (buyout), qui permet d’acquérir avec un levier d’endettement des entreprises mûres. Les auteurs estiment que ce type de financement est particulièrement adapté à l’économie française, dans laquelle des milliers d’entreprises moyennes n’ont pas aujourd’hui, et auront encore moins demain, d’autres sources de financement que celles du capital-investissement. Ce rapport est à la fois : un diagnostic : non, le capital-investissement n’a pas de résultats financiers exceptionnels ; une analyse : oui, le capital-investissement a une efficacité très forte dans la relation actionnaire-management ; une force de proposition pour permettre à cette classe d’actifs de se développer de manière accélérée en France. Ce rapport a été présenté au directeur de cabinet du Premier ministre le 17 avril 2008. Les auteurs ont bénéficié de la collaboration de nombreux experts. Cette lettre, publiée sous la responsabilité du CAE, reprend les principales conclusions et propositions des trois auteurs.