Le président délégué du CAE, organisme rattaché à Matignon, juge qu'il va être « plus que compliqué » de ramener le déficit à 3 % en 2027 comme le vise l'exécutif. Il plaide pour une trajectoire budgétaire à dix ans, qui ramène le déficit à zéro tout en préservant les investissements. Il appelle à faire contribuer à l'effort les plus aisés - par la voie fiscale - comme les retraités.
Une interview réalisée par Renaud Honoré et Nathalie Silbert à lire en intégralité sur le site des Echos