Jean-Marie Chevalier et Jacques Percebois Parution : 22.02.2008 Les menaces liées au réchauffement climatique, le développement de la demande énergétique mondiale et la concentration des réserves d’hydrocarbures dans quelques pays, souvent politiquement instables, font peser des risques importants sur le marché de l’énergie. Face à cette situation l’Europe présente une vision originale d’un futur énergétique qui serait à la fois compétitif, sûr et soutenable. Néanmoins, ces objectifs ne pourront être atteints que si les marchés nationaux, aujourd’hui fragmentés, s’intègrent dans un marché unique. Ce rapport s’attache à distinguer dans l’analyse, l’électricité, d’une part, et le gaz, de l’autre, et pointe la spécificité de la France. Jean-Marie Chevalier et Jacques Percebois recommandent de renforcer l’indépendance des régulateurs nationaux ainsi que le pouvoir de l’association des régulateurs européens (ERGEG-Plus) et de l’association des opérateurs de réseaux (pour le gaz naturel et pour l’électricité). Ils proposent également d’encourager les investissements des gestionnaires de réseau et d’adapter progressivement les prix et les tarifs de manière à ce qu’ils reflètent véritablement les coûts des investissements nécessaires au niveau européen. Commander le rapport La lettre Analyses Économiques n° 2/2008 - Février 2008 Les menaces liées au réchauffement climatique, le développement de la demande énergétique mondiale et la concentration des réserves d’hydrocarbures dans quelques pays, souvent politiquement instables, font peser des risques importants sur le marché de l’énergie. Face à cette situation l’Europe présente une vision originale d’un futur énergétique qui serait à la fois compétitif, sûr et soutenable. Néanmoins, ces objectifs ne pourront être atteints que si les marchés nationaux, aujourd’hui fragmentés, s’intègrent dans un marché unique. Dans cette optique, le rapport recommande de renforcer l’indépendance des régulateurs nationaux ainsi que le pouvoir de l’association des régulateurs européens (ERGEG-Plus) et de l’association des opérateurs de réseaux (pour le gaz naturel et pour l’électricité). Il propose également d’encourager les investissements des gestionnaires de réseau et d’adapter progressivement les prix et les tarifs de manière à ce qu’ils reflètent véritablement les coûts des investissements nécessaires au niveau européen. Ce rapport a été discuté en présence de Christine Lagarde, ministre de l’Économie, des Finances et de l’Emploi le 18 octobre 2007. Cette lettre, publiée sous la responsabilité de la cellule permanente, reprend les principales conclusions tirées par les auteurs.
Jean-Marie Chevalier et Jacques Percebois Parution : 22.02.2008 Les menaces liées au réchauffement climatique, le développement de la demande énergétique mondiale et la concentration des réserves d’hydrocarbures dans quelques pays, souvent politiquement instables, font peser des risques importants sur le marché de l’énergie. Face à cette situation l’Europe présente une vision originale d’un futur énergétique qui serait à la fois compétitif, sûr et soutenable. Néanmoins, ces objectifs ne pourront être atteints que si les marchés nationaux, aujourd’hui fragmentés, s’intègrent dans un marché unique. Ce rapport s’attache à distinguer dans l’analyse, l’électricité, d’une part, et le gaz, de l’autre, et pointe la spécificité de la France. Jean-Marie Chevalier et Jacques Percebois recommandent de renforcer l’indépendance des régulateurs nationaux ainsi que le pouvoir de l’association des régulateurs européens (ERGEG-Plus) et de l’association des opérateurs de réseaux (pour le gaz naturel et pour l’électricité). Ils proposent également d’encourager les investissements des gestionnaires de réseau et d’adapter progressivement les prix et les tarifs de manière à ce qu’ils reflètent véritablement les coûts des investissements nécessaires au niveau européen. Commander le rapport La lettre Analyses Économiques n° 2/2008 - Février 2008 Les menaces liées au réchauffement climatique, le développement de la demande énergétique mondiale et la concentration des réserves d’hydrocarbures dans quelques pays, souvent politiquement instables, font peser des risques importants sur le marché de l’énergie. Face à cette situation l’Europe présente une vision originale d’un futur énergétique qui serait à la fois compétitif, sûr et soutenable. Néanmoins, ces objectifs ne pourront être atteints que si les marchés nationaux, aujourd’hui fragmentés, s’intègrent dans un marché unique. Dans cette optique, le rapport recommande de renforcer l’indépendance des régulateurs nationaux ainsi que le pouvoir de l’association des régulateurs européens (ERGEG-Plus) et de l’association des opérateurs de réseaux (pour le gaz naturel et pour l’électricité). Il propose également d’encourager les investissements des gestionnaires de réseau et d’adapter progressivement les prix et les tarifs de manière à ce qu’ils reflètent véritablement les coûts des investissements nécessaires au niveau européen. Ce rapport a été discuté en présence de Christine Lagarde, ministre de l’Économie, des Finances et de l’Emploi le 18 octobre 2007. Cette lettre, publiée sous la responsabilité de la cellule permanente, reprend les principales conclusions tirées par les auteurs.